Pour les écrits qui l’imposent : biographies privées et écrits thérapeutiques, je suis tenue à l’entière confidentialité.
Sauf autorisation expresse du propriétaire de l’écrit, je ne montre jamais leur contenu.
Les noms des biographies mentionnées dans la rubrique Biographie et dans la Bibliothèque ne le sont que parce qu’ils l’ont été
à un large cercle voire, pour certaines, au grand public.
Par exemple, les mémoires d’André Bettencourt ont été citées à l’Institut de France par Patrick de Carolis
lors de son discours d’accueil en octobre 2011, dans Le Monde (in Mémoires d’un prince consort en novembre 2013)
et sur France 3 (in Fortune et Infortune des Bettencourt en septembre 2017).